La 52ème CES 2019 s’est déroulée du 8 au 11 janvier à Las Vegas et une fois de plus la France a été largement représentée puisque plus de 300 entreprises, dont plus de 200 startups, ont fait le déplacement pour participer au plus grand mondial de l’électronique grand public.

Parmi les entreprises présentes se trouvait Clevy qui a suivi le programme d’accélération HPE Start-up 2018. Retour sur la participation de l’entreprise au CES 2019 avec Karim Fares, Head of Development.

Pouvez-vous résumer en quelques mots le service proposé par Clevy ? 

Clevy permet de créer des chatbots d’informations qui répondent aux questions récurrentes des employés sur tous sujets : ressources humaines, IT, achats, juridique, conduite du changement…

Était-ce votre première participation au CES ?

Oui

Quels étaient vos objectifs pour cet événement ?

En participant au CES 2019, nous souhaitions avant faire connaître notre produit au plus grand nombre et identifier de nouveaux clients.

Avez-vous fait des rencontres marquantes ?

Oui, nous avons en effet eu l’opportunité de faire de nombreuses rencontres très intéressantes, notamment des prospects qualifiés issus du top management de groupes Français et étrangers, de potentiels partenaires ou encore Alexandra Dublanche, vice-présidente de la région IDF, et ses équipes.

Quelle est votre sentiment global sur l’intérêt de participer au CES ?

C’est l’un des salons phares de l’écosystème start-up à l’international. Si l’on s’y rend avec une bonne préparation, le CES permet de lancer son année dans les meilleures conditions, quelque soit son offre de services ou de produits.

Quelles sont les prochaines étapes de développement ?

Nous avons comme objectifs de passer de 17 à 25 collaborateurs en 2019 et de poursuivre notre développement à l’international. Nous sommes à ce titre déjà présents en France, au Portugal, aux États-Unis, en Indonésie et en Espagne et comptons bien continuer dans cette dynamique.

Nous allons également poursuivre le développement produit pour simplifier toujours plus l’accès à nos technologies.

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