Première interview d’une longue série, le ou la frappé(e) du mois est notre coup de projecteur mensuel sur un entrepreneur / leader / acteur du changement qui ne fait pas les choses comme tout le monde. Nous aimons les approches aussi rafraîchissante qu’un milkshake noix de coco/banane. Découverte de la frappée de ce mois de Décembre !

1- Bonjour Gayané ! Pourrais-tu te présenter en 3 mots ?

Les 3 mots : lien, information, Sumrise.

Lien

Lien

Créer du lien entre des gens, entre des connaissances, c’est ce qui me motive au quotidien

Information

Information

Ancienne journaliste, le renouvellement des modes de narration et d’information me passionne

Sumrise

Sumrise

Un outil en ligne lancé avec mon agence de communication événementielle Ondine, qui permet à n’importe qui de faire un compte rendu d’événement facilement

2- Quels sont tes 2 obsessions ?

Obsession pro

Avec du recul, mon obsession au niveau professionnel, c’est réunir le monde du journalisme et de l’entrepreneuriat.

Obsession perso

L’environnement et la société durable clairement. Faire attention à notre environnement(au sens large) et à la planète sur laquelle on vit.

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3- Qu’est-ce que Place to B ? Pourquoi l’avoir organisé ? Pourquoi toi en particulier ?

Place to B c’est un lieu-média qui s’est organisé autour de la COP21 qui avait lieu à Paris cette année. Pendant les 15 jours des négociations, nous avons privatisé le Saint Christopher’s Inn, une auberge de jeunesse près de Gare du Nord, dans laquelle nous avons accueilli des blogueurs, photographes, vidéastes, ONG et autres acteurs du monde entier pour essayer de faire émerger un nouveau storytelling autour du changement climatique.
On a organisé cet événement sur la base d’une expérience d’Anne-Sophie Novel, la co-fondatrice, qui avait vécu cela à une échelle plus réduite durant la COP15 à Copenhague en 2009. On a voulu offrir un lieu avec un espace de travail, une programmation propre et même une fabrique créative autour de l’information pour toutes les personnes de la sphère du storytelling, pour « faire passer l’information différemment ».
Quand Anne-Sophie, m’en a parlé il y a plus d’un an, j’ai tout de suite été intéressée par la possibilité de travailler sur un nouveau mode de narration à propos d’un sujet qui me concerne fortement. On parlait aussi de couverture numérique de l’événement qui est le coeur de métier de mon agence et j’ai pu ainsi réunir les compétences et ressources d’Ondine sur ce projet en plus de ma forte implication personnelle.

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